Jean-Marie Perier

Jean-marie Perier

#Photographe #Incontournable
À la fin des années cinquante, le jeune photographe ne sait pas encore qu'il débute sa carrière avec le futur fondateur du premier groupe de presse mondial, Daniel Filipacchi. En 1962, la revue « Salut les Copains » sort dans les kiosques, un magazine pour des jeunes fait par des jeunes, une révolution dans le monde des médias français. Jean-Marie, alors à peine âgé de vingt ans, devient le photographe de référence. Johnny, Sylvie Vartan, Dutronc, Françoise Hardy, France Gall, les Beatles ou les Stones… l'accueillent comme un ami. Ils lui font confiance. Toutes ses mises en scènes et folies sont acceptées. « Les problèmes d'image et d'égo n'existaient pas, je garde le souvenir d'une époque de gaieté et de liberté dont je m'efforce de ne pas avoir la nostalgie' .
Dans Polka Magazine, François Weyergans dit de lui : « Il est le Proust des yé-yé »


Expositions
"Mes années 60 à de nos jours"

Semaine de Riedisheim, 2007

Rétrospective à Perpignan, France, 2005

Festival international de Moscou, 2003

Hôtel de ville de Figeac, 2003

Mairie de Paris, 2002
Livres
Jean-Marie Périer, ed. du Chêne, 2008

Le temps d'apprendre à vivre, Editions XO, 2004

Flash, 2002, ed. Filipacchi

Enfant gâté, 2001, Editions XO

Mes années 60, tome 1&2, ed. Filipacchi, 1995