Born in the city of Poitiers in France, Stéphan Norsic grew in the center of his country and lives today in Paris. As a teenager, he begins photography with his parent's device, Icarex and his 50 mm 2.8 Carl Zeiss. His professors, he finds them in the various clubs photos which he frequents along the years and among the people he meets.
Trained to the «black and white» at the time of the film photography, he then wants to become emancipated and follows at first a formation in photojournalism then training in studio photography with view cameras.
His university courses ends with a master in Economics (option international economy and finance). In this period, he occupies various jobs among them that of the teacher in the Department of Education. And, little after, he installs in Paris and begins to exercise full-time photojournalist's profession.
Stéphan Norsic works for the French and foreign press. He worked for numerous magazines: le Monde, le Point, l'Express, Pélerin magazine, Courrier des maires, Gazette des communes, Closer, Maxi, as well as for agencies of communication Stratis or private companies Superior Council of the Notary, Manheim France, Vergnet, Carlson Wagonlit Travel, Etapes Nouvelles, Marmara and Nouvelles Frontières….
During several years he follows the political current events (Cabinet, press conferences, and journeys of the Ministers)
His pictures are spread in several agencies.
At the same time, Stéphan Norsic works for several years on the subject of the migration. He went three times, for a total duration of five months, to Senegal to confront with the reality of those who leave with pirogues to join Europe. He went to Calais to follow the migrants in their trip towards England. In Paris, He made pictures of homeless people from Romania. He followed Roms in Saint-Denis in the French suburbs. He works at present on the fate of people without identity papers in France.
Né à Poitiers, Stéphan Norsic a grandi dans le centre de la France et vit aujourd'hui à Paris. C'est à l'adolescence qu'il commence la photographie avec l'appareil de ses parents, un Icarex et son 50 mm 2.8 Carl Zeiss. Ses professeurs, il les trouve dans les différents clubs photos qu'il fréquente pendant des années et au gré de ses rencontres. Formé au noir et blanc à l'époque de l'argentique, il veut alors s'émanciper et suit d'abord une formation en photojournalisme puis une formation en photographie de studio à la chambre grand format. Des compléments précieux dans son parcours universitaire qui lui s'achève avec un master en Sciences économiques (option économie et finance internationales). A cette époque, il occupe différents emplois dont celui de professeur vacataire dans l'Éducation nationale. Et c'est un peu après qu'il s'installe à Paris et commence à exercer à plein temps le métier de photographe journaliste.
Stéphan Norsic travaille pour la presse française et étrangère. Il a travaillé en commande pour de nombreux magazines (Le Monde, Le Point, l'Express, Pèlerin magazine, Courrier des maires, Gazette des communes, Closer, Maxi…) ainsi que pour l'agence de communication Stratis et des organismes ou entreprises privées (Conseil supérieur du notariat, Manheim France, Vergnet, les agences de voyages Carlson Wagonlit Travel, Etapes Nouvelles, Marmara et Nouvelles frontières…) Pendant plusieurs années il suit l'actualité politique (conseil des ministres, conférences de presse, déplacements des ministres…)
Ses images sont diffusées dans plusieurs agences.
Parallèlement à cela Stéphan Norsic travaille depuis plusieurs années sur le thème de la migration. Il est allé à trois reprises, pour une durée totale de cinq mois, au Sénégal pour se confronter à la réalité de ceux qui partent en pirogue pour rejoindre l'Europe. Il est allé à Calais pour suivre les migrants dans leur périple vers l'Angleterre. Il a fait un reportage sur un sans domicile roumain dans Paris. Il a suivi des rroms à Saint-Denis (93). Il travaille actuellement sur le sort des sans papiers en France.
“La trace d’un rêve n’est pas moins réelle que celle d’un pas.”
Georges Duby
La trace représente une expérience et présuppose l’existence d’un rapport. Elle symbolise la perte : celle de l’objet qui la constitue en tant que trace et simultanément symbolise son existence ; elle est celle qui porte et active la mémoire historique de l’objet disparu. La trace est toujours considérée dans un fond historique et en liaison à la mémoire.
La bulle de chewing gum 2/3, Stephan Norsic
L’exposition Trace In Time s’interroge sur le lien entre la trace du réel et la trace de la représentation photographique. Les cinq photographes approchent dans leur travail le suje...
17 artistes, 55 œuvres.
Un parcours à travers la création photographique contemporaine.
Sans à priori sur les techniques employées cette exposition invite à réinventer le réel. Des photos réalistes démarre le parcours puis ce dernier évolue progressivement en jouant avec des décalages, des surimpressions, des collages, des compositions, des créations utilisant des techniques mixtes et se termine avec des images abstraites. L’important c’est de produire une émotion, une surprise et une ouverture du regard sur ce qui nous entoure, de montrer que la créativité est à la portée de chacun.
Bestiaire 2, Corinne Rozotte
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